j'ai mit Je car c'est pas Hyena quil parle deja
je fait comme si j'etais quelqun d'autre qui racontais l'histoire de Hyena (jai lut beaucoup de livre et j'en ai prit compte ) la suite dans peu de temp
d'alleur maintenant
Chapitre II : La famille de Hyena .
Les parents des jumelles vivaient sur les terres du Tarmyr, dans la partie la plus septentrionale des Monts de Valkmyr. Le père était tanneur pour le compte du Grand Régent et avait ses entrées au château. La mère, herboriste, s'occupait à la confection de baumes et d'onguents destinés à l'Etat Major de la Garde Régente. Les deux sœurs étaient nées au milieu de cette soldatesque pour qui l'honneur était un maître-mot mais elles étaient très différentes. Selket, très jeune était attirée par ces fiers capitaines dont le courage et la bravoure n'étaient plus à prouver et ne se lassait jamais de les regarder s'entraîner des journées entières. Elle-même avait demandé discrètement au forgeron du château de lui fabriquer une petite épée à sa taille, ce dont ce dernier s'était empressé de réaliser car il aimait beaucoup cette petite fille un peu sauvageonne, n'ayant peur de rien et hurlant à s'époumoner pour encourager ses idoles lors des joutes amicales et régionales. Pendant ce temps, Hyena se plongeait dans les livres médicinaux et aidait leur mère à concocter une pharmacopée des plus diversifiées. Quand la mère était au château, Hyena courait rejoindre sa jumelle et la soignait régulièrement à cause des activités bagarreuses de cette dernière. Elles étaient très complices et passaient leur temps à réparer les bêtises de l'autre afin que les parents ne soient pas au courant des petites incartades interdites. Un jour que Selket s'était blessée plus gravement qu'à son habitude en voulant rosser un jeune vaurien qui avait eu le malheur d'insulter sa sœur, Hyena lui dit
« Un jour, papa et maman finiront par voir tes cicatrices et demanderont des comptes ; nous n'aurons plus l'occasion alors de vagabonder ensemble librement » et Selket avait répondu :
« Allons donc, tu me soignes tellement bien qu'on n'aperçoit aucune cicatrice et ils n'en sauront jamais rien »
« Oui mais un jour tu te blesseras gravement et je ne pourrai peut-être rien faire pour toi »
« J'ai confiance avait répondu Selket, tu seras toujours là pour me guérir et moi pour te défendre et jamais rien ne pourras nous séparer. »
Le père, Evatnic était un celte mais la mère des jumelles, Erethielle, était une elfe issue de la branche des Vertbois, peuple doué dans l'art de l'herboristerie et de la guérison. Elle était de grande lignée, les Acer mais non pas la plus haute de son peuple. Sa famille siégeait au Conseil Annuel des Vertbois. Tous les 320 jours, - car une année du calendrier des Vertbois durait 320 jours-, la sœur d'Erethielle venait la chercher pour participer au conseil elfique. Cette année-là, la mère des jumelles revint avec de mauvaises nouvelles : le peuple elfe sur Hibernia la Magique avait disparu avec les lurikeens en laissant la seul le peuple des firbolgs à la défense du royaume. Pendant qu'Erethielle expliquait tout ça à son mari, Hyena écoutait attentivement et demanda ce qu'était Hibernia. Elle se mit à bouder lorsque sa maman lui répondit d'aller dormir, que ces histoires ne concernaient pas des petites filles et se dirigea, grommelant, vers sa chambre.
Les parents, après avoir discuté toute la nuit demandèrent une audience de toute urgence auprès du Grand Régent. Face à leur suzerain, Erethielle prit la parole en ces mots :
« Votre Régence, moi, Erethielle, fille de Aegel et de Gilawenn, de la lignée des Acer, du peuple des Vertbois, je vous ai juré fidélité et vous demande, vous implore la permission de rejoindre au plus vite mon peuple car une mauvaise nouvelle nous est parvenue ; Hibernia la Magique est en grand danger et nous avons besoin de toutes les forces disponibles afin d'aller la défendre contre ses ennemis, Midgard et Albion. »
Le Grand Régent réfléchit et, très embêté : « Ma chère Erethielle, tu connais l'estime que je tiens envers ton peuple mais tu n'est pas sans savoir que l'ennemi est à nos portes. Des éclaireurs me sont revenus ce matin pour m'annoncer que les Monts de Valkmyr avaient été traversés par les troupes rebelles malgré les défenses que j'y avais placées. Je ne puis me passer de tes services en ces moments graves. Mais je comprends la situation délicate dont tu m'as fait part et je te répondrai donc ceci : ton Grand Régent ordonne que ton mari et tes deux filles partent te représenter auprès des tiens pour défendre Hibernia. Le Grand Régent a parlé, qu'il en soit ainsi !.
A ces mots, le Grand Régent se leva et quitta la salle laissant Evatnic et Erethielle médusés.